jeudi 9 avril 2009

L'étoile filante, chapitre 3

Le film finit j'étirais le temps passé avec elle en rallongeant mon trajet de tout les façons possibles. Elle s'en était rendu compte mais n'en glissait aucun mot, préférant rire et profité du moment.

Rendu à sa porte elle déposa deux becs sur mes joues et je sentis pendant une seconde ses lèvres frôlés les miennes. Les joues toutes rouge elle referma la porte de sa maison et je repartie de mon coté sur un tapis volant.

Une semaine passa avant que l'occasion de la revoir se représente de nouveau. Un samedi soir qui commençais comme tout les autres avec ma pratique de base-ball et après la moitié des gars de l'équipe se ramassaient dans un club. Comme à l'habitude je prenais ma sieste poste exercice quand mon téléphone sonna et que ma jolie bouclé me demandait de l'accompagnai au club que j'allais déjà.

À l'heure pile que je lui avait dit j'étais devant sa porte et comme toute fille aime se faire désiré je due attendre assis dos à la porte de sa sale de bain car je ne devais pas voir l'affreux monstre qu'elle était à moitié préparé. L'attente en value la peine car elle était plus que magnifique.

J'étais fière d'arrivé devant mes coéquipiers avec la plus belle qui me suivait avec un sourire gêné. Après plusieurs minutes à dansé la chaleur de la foule m'étouffais. Elle resta cependant avec ses amis pour me laissé seul.

Après quelques minutes passé au froid contrastant de l'extérieur j'étais décidé à rentré à l'intérieur quand une main me saisit le poignet et me dit "vient ont va marché j'ai chaud". Après notre deuxième tour de la bâtisse elle se plaignait d'avoir froid mais de vouloir resté à l'extérieur. Une simple caresse allait la réchauffé selon elle. Je ne put refusé en plus que ces mains se promenaient dans mon dos et que son nez était collé contre mon torse. Plusieurs minutes passaient sans que l'on parle.

Il me fallait rien de plus pour faire ma soirée mais sa main derrière ma nuque fit penché ma tête et ses lèvres si proche je ne put résister. J'embrassais finalement ces lèvres si douce au goût sucré.

mardi 7 avril 2009

L'étoile filante, chapitre 2

Après cette soirée passée ensemble au bar le reste passa très vite à mes yeux. Chaque soir l'on parlait sur facebook de tout et de rien. Jamais elle ne me demandait si je serais là le lendemain et jamais je ne lui demandais. Cependant tous les soirs à la même heure, sans jamais se donner rendez-vous, on y était sans même y pensé.

Chacun de nos statuts semblaient une bonne raison de dérapé et de fusionner un instant. Plusieurs conversations déjà dernière nous, je prit mon courage à deux mains et l'invita à allé voir le film de Dédé à travers les brumes ce qu'elle refusa malheureusement.

Toute fois, le téléphone sonna un dimanche pour m'invitai à son tour à aller voir un film. L'offre accepté nous avons passé une soirée agréable à parlé ouvertement et à ruminé contre le monde assis près de nous qui ne voulaient pas se taire.

Il n'y avait plus de gêne mais beaucoup de désir. À chaque instant cette étoile se rapprochait de moi mais je refusais de me faire des idées, je refusais de me laissé emporté...

L'étoile filante, chapitre 1

Après cette soirée au danseuse cela prit plusieurs mois avant qu'on se redonne des nouvelles. L'on parlait quelques peux sur facebook avec quelque message sur nos mur respectif pour passé le temps. Par une soirée froide de mars je reçu l'invitation de mon meilleur ami d'aller jouer au billard avec le monde de son travail.

J'avais accepté de me joindre à eux car je connaissais plusieurs personnes qui travaillaient avec lui. C'est en arrivant que je vie ses yeux bleu. Avec un agréable sourire elle vint me dire bonjour et entama toute suite la conversation. Nos sujets divaguaient mais jamais nos yeux fuyaient. Cependant l'offre de rafraîchissement alcoolisé par mes amis nous interrompue et quant je revins, elle était partie avec des amies quelque table plus loin.

C'est lorsqu'on m'offrit de jouer au billard qu'elle revint avec un grand sourire et en s'exclamant qu'elle serait de mon équipe. Prétextant être trop maladroite, elle me laissait joué toute ses coups et préférais resté à côté de moi pour m'encourager pour mes beau coups et me réconfortais lors de mes léthargies avec un grand sourire. Avec la victoire en poche les bancs inconfortable nous appelais pour une grande conversation.

Le bar se vidait mais nous parlions toujours sans manqué de sujet ou d'intérêt. J'avais toujours l'impression qu'elle était insaisissable comme une étoile filante mais tranquillement elle se rapprochait de moi et me faisait rêvé au jour ou je pourrais la touché. Comme il faut savoir être patient je reçu mes deux becs sur les joues et son numéro.

Étendu dans mon avec mon cellulaire entre les mains, je résistais à l'envie de la rejoindre et m'en dormi avec un sourire que cette étoile scintillante m'avait laissé.